Le président du Kazakhstan, Kassym-Jomart Tokayev, a mis en exergue une polarisation croissante entre États, tandis que d’autres intervenants, comme le président rwandais Paul Kagame, ont plaidé pour une approche intégrée des problèmes mondiaux.

L’événement a permis de discuter de sujets variés, tels que les réformes nécessaires à l’ONU, la sécurité alimentaire, le changement climatique et la régulation de l’intelligence artificielle, soulignant l’importance d’unir les efforts pour surmonter les obstacles contemporains.

En matière économique, des accords ont été signés entre la France, l’Italie et le Kazakhstan concernant des projets d’hydrogène et d’énergie verte, tout en abordant les effets négatifs que peut engendrer le commerce.

Le rôle du Kazakhstan en tant que corridor de transit entre l’Asie et l’Europe a également été mis en lumière, avec des investissements significatifs dans son infrastructure.

Enfin, des discussions sur l’énergie renouvelable et la nécessité de financements pour lutter contre le changement climatique ont révélé le potentiel économique de la région, notamment à travers l’exploitation de terres rares et de l’énergie éolienne.

Contrairement aux modèles d’IA précédents, qui privilégiaient la création d’images réalistes, SketchAgent imite le processus d’esquisse humain de manière itérative, permettant une interaction plus créative et collaborative entre l’IA et l’utilisateur.

Ce système utilise un modèle de langage multimodal qui le forme sur une séquence de traits organisés, permettant ainsi de dessiner des concepts variés, allant d’un papillon à l’Opéra de Sydney.

Les chercheurs ont testé la capacité de SketchAgent à travailler en tandem avec des humains, montrant que ses contributions étaient cruciales pour la réussite du croquis.

Bien que les dessins soient encore simples, ressemblant souvent à des griffonnages, l’outil ouvre la voie à de nouvelles méthodes pour exprimer des idées visuellement.

Une équipe de chercheurs en robotique en Corée a développé et testé un robot quadrupède, nommé Raibo, capable d’effectuer des manœuvres de parkour à grande vitesse dans des environnements variés.

Dans leur étude publiée dans la revue Science Robotics, les chercheurs expliquent que pour permettre au robot de naviguer efficacement, ils ont conçu un contrôleur innovant qui planifie et suit les mouvements, utilisant un réseau de neurones pour créer une carte dynamique.

Les tests ont démontré que Raibo pouvait accomplir des réalisations impressionnantes, comme courir sur des murs ou sauter au-dessus d’obstacles.

L’équipe envisage de continuer à améliorer les compétences de Raibo, avec des applications potentielles dans des situations de sauvetage ou des environnements difficiles.