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Pourquoi le partenariat en calcul quantique entre les États-Unis et le Royaume-Uni est essentiel pour les technologies émergentes.

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Lors de la seconde visite d’État du président Donald Trump au Royaume-Uni, un protocole d’accord a été signé pour favoriser le développement de l’informatique quantique entre les deux pays.

Ce pacte inclut également des domaines tels que l’intelligence artificielle et l’énergie nucléaire, avec pour objectif de créer un « vrai avantage quantique », où les ordinateurs quantiques surpasseraient les machines classiques.

Bien que cet accord soit non contraignant, il vise à établir des normes industrielles et à renforcer la collaboration.

Cette initiative s’inscrit dans un contexte de compétition mondiale, où des pays comme le Japon et des projets européens tentent de gagner en leadership dans le domaine.

Les États-Unis et le Royaume-Uni cherchent à développer des technologies quantiques pour renforcer leur marché, tout en tenant compte des enjeux de sécurité, notamment en ce qui concerne la cryptographie.

Les applications potentielles de cette technologie sont vastes, touchant à la science, la finance et la logistique.

Le développement des machines quantiques fait l’objet de recherches intensifiées, bien qu’il faille encore des années avant que leur impact soit pleinement mesuré.

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