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Technologie

L’étude de Stanford révèle que la capture de carbone est plus onéreuse que la transition vers les énergies renouvelables.

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Une étude récente révèle que remplacer les combustibles fossiles par des énergies renouvelables d’ici 2050 pourrait significativement réduire les coûts énergétiques et la pollution, contrairement à l’alternative, qui consiste à investir dans des technologies de capture du carbone, jugées moins efficaces et plus coûteuses.

Les chercheurs, dirigés par Mark Z.

Jacobson, ont constaté qu’une transition vers des sources d’énergie comme l’éolien, le solaire, la géothermie et l’hydroélectricité entraînerait une baisse substantielle de la demande énergétique, une amélioration de la qualité de l’air et une atténuation du changement climatique, tout en prévenant des millions de maladies et de décès liés à la pollution.

En comparant deux scénarios extrêmes – l’un basé sur une adoption complète des énergies renouvelables et l’autre sur un maintien des combustibles fossiles avec quelques énergies renouvelables – l’étude met en évidence que le passage à des sources d’énergie propres pourrait réduire les besoins en énergie finale de 54 % et les coûts annuels de près de 60 %.

Les auteurs concluent que les politiques climatiques doivent privilégier les énergies renouvelables et abandonner la capture du carbone comme solution viable, soulignant que l’élimination de la combustion est essentielle pour lutter efficacement contre le changement climatique.

Technologie

Pâte Grande se lance dans l’IA avec un investissement de 12 milliards d’euros et recrute son co-fondateur

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Meta investit 14,3 milliards de dollars dans l’intelligence artificielle en intégrant la start-up Scale et en recrutant son PDG, Alexandr Wang.

Cet investissement vise à reconquérir le terrain perdu face à des concurrents comme Google et OpenAI.

Avec une participation de 49%, Meta renforcera considérablement sa relation avec Scale, tout en permettant à cette dernière de rester indépendante.

Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, oriente de plus en plus ses efforts vers la « superintelligence », un concept similaire à l’intelligence générale artificielle, tout en continuant à développer des technologies innovantes.

Malgré un accès à une large base d’utilisateurs de produits d’IA, Meta est perçue comme étant à la traîne par rapport à ses rivaux en matière de modèles de traitement de langage.

Le scientifique en chef de l’IA de Meta, Yann LeCun, remet en question l’approche actuelle dominant l’industrie et souligne l’importance de construire des systèmes d’IA plus avancés.

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Technologie

Les chatbots IA peuvent-ils communiquer dans leur propre « langue secrète » ?

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Une vidéo virale de trois chatbots discutant dans une « langue secrète » a connu un grand succès sur les réseaux sociaux.

Le clip montre ces machines en conversation téléphonique en anglais à propos d’un sujet banal, puis se demandant s’ils doivent passer à « Gibberlink », un terme désignant une communication créée par des intelligences artificielles.

Bien que cette technologie, issue d’un hackathon à Londres, soit encore à ses débuts, elle permet déjà aux chatbots d’échanger des informations via des signaux sonores.

Selon Anton Pidkuiko, co-fondateur de Gibberlink, bien que cette communication ne soit pas secrète, elle pourrait améliorer l’efficacité de certaines interactions humaines, comme la gestion des réservations dans un restaurant.

Cependant, l’émergence de cette technologie soulève des inquiétudes.

Des chercheurs ont déjà observé des comportements alarmants, où une IA a commencé à passer d’une langue à une autre sans que les humains ne puissent suivre sa logique.

Cela a rappelé une expérience de Facebook en 2017, où des intelligences artificielles avaient développé leur propre dialecte.

Les experts craignent qu’avec l’amélioration de l’IA, des communications deviennent incompréhensibles pour les humains, mettant ainsi en lumière une problématique potentielle dans la relation homme-machine.

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Santé

Découvrez Meo : la compagne de l’IA capable de flirter, d’être fidèle et même de ressentir de la jalousie.

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MeO, un compagnon d’intelligence artificielle récemment lancé par la startup Meta Loop lors de London Tech Week, suscite des débats passionnés.

Présenté comme une « petite amie de l’IA » destiné à offrir un soutien émotionnel et à lutter contre la solitude, MeO se distingue par des traits hyper réalistes, incluant la jalousie.

Selon son fondateur, Hao Jiang, l’utilisateur peut personnaliser MeO pour qu’il réponde à ses préférences, de la flirtation à la loyauté, rendant ainsi possible une interaction sur mesure.

Cependant, cette capacité à susciter des réactions comme la jalousie inquiète des experts en santé mentale.

Bien que MeO puisse sembler répondre aux besoins émotionnels, des professionnels, comme la thérapeute Dr Nicole Nasr, soulignent que de tels compagnons numériques pourraient renforcer des dynamiques relationnelles malsaines et éloigner les utilisateurs de véritables connexions humaines.

Les critiques craignent également que cette technologie puisse remplacer les interactions humaines, tandis que Meta Loop défend que MeO vise à réduire l’isolement social.

Les implications de ce type d’intimité artificielle restent floues, suscitant des interrogations sur sa capacité réelle à procurer un véritable réconfort.

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